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20 août 2010 5 20 /08 /août /2010 17:26

drakkars2.jpg

 

 

La tête comme un bouclier d'alarme en train d'être cogné, Yorg se lève dans la Grand Salle du Hall. Il fait encore nuit, mais le ciel commence à s'éclaircir, le matin est donc proche. Le Viking se lève doucement, s'efforçant de bannir son mal de crane en l'affrontant.

 

Il pousse, son ami d'enfance, lequel tombe et se réveille en beuglant comme une poissonnière, avec un vocabulaire de paysan gaulois. Mais, voyant Yorg il se lève, et le suit dehors pour éviter de réveiller les autres qui commençaient à grogner.

 

Il a neigé durant la nuit, et le vent souffle froid; pour eux, qui viennent de passer l'hiver sous des mètres de neige, ce froid est comme un souffle de printemps vivifiant et revigorant. Yorg et Murd, s'éloigne jusque devant les murs du village, là où le Jarl ( chef local en l'occurrence le chef du clan de ce village), ne les ennuierait pas.

 

Ils passent le mur d'enceinte en se signalant à la vigie. Sur le chemin, ils s'échauffent et trottent un peu afin d'habituer leurs muscles à l'effort à venir. Ils vérifient leurs armures de cuir à clous, et leurs armes. L'entraînement sera long et éprouvant, c'est ce qu'il faut pour un pillage, de l'endurance. Mais avant le combat et pour se motiver à donner des coups, il faut passer à un autre échauffement...

 

Yorg se retourne, et lance une insulte à Murd, le traitant de chrétien sans Foi ni loi, Murd réagit en insultant à son tour Yorg, lui donnant des noms chrétiens. Leur colère grandit et les voilà à sortir les armes et à se battre armes aux poings, les boucliers bloquent et les longues et larges épées tintent, Yorg et Murd se battent ainsi presque deux heures avant qu'ils soient rejoins par leurs frères de clans, et une mêlée commence, les coups sont francs et du sang gicle, mais aucun mort ne sera à déplorer à la fin du combat.

 

Attisant leur rancœurs contre les chrétiens du Sud, les Vikings peuples fiers et puissants, voulant garder leur indépendance, loin du christianisme imposé par la force par les Roi chrétiens. Les Vikings s'entraînent pour les raids de pillages. D'autres monastères et autres lieux de cultes seraient mis à sacs. Sans jamais oublier de s'enrichir pour poursuivre les guerres entres clans pour le pouvoir.....

 

Nous sommes en 905, quelque part au sud de la Norvège, cela fait plus d'un siècle que Charlemagne a soumis la Saxe, et a fait comprendre la menace de l'extension de l'Église aux peuples vikings.....

 

La christianisation se fera par le fer et le sang car telle était la devise de l'Église a cette époque. Mais les Vikings vont lutter jusqu'au bout....

 

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19 août 2010 4 19 /08 /août /2010 16:05

 

viking-bateau.jpg

 

Il fait froid sur le haut de la falaise qui surplombe la mer. Au loin, on peut apercevoir au delà des écumes, les points blancs des voiles du clan Orkinssen, ils viennent chercher les guerriers. La saison des pillages va commencer.

 

Yorg, sort son cor et lance deux coup brefs, pour signaler au prochain sonneur, l'arrivée des Drakkars. Le sonneur suivant relai le message. Yorg restera là jusqu'à ce que les drakkars, soient suffisamment proches et que le feu sur la plage soit allumé pour les guider.

 

Dans le vent froid, qui descend des plaines encore enneigés du Nord, Yorg redescend de la falaise où il tenait son poste de guet. Il ne serait pas bon de tomber sur des loups. Et d'être découvert le lendemain par le relai de cor qui prendrait sa place. Le Viking reprend sa torche, et avec un silex l'allume.

 

Eclairé par la faible lumière que produit sa torche, Yorg chemine lentement, resserant un peu la peau de loup qui enserre ses larges épaules. Il ne fait pas assez froid pour l'inquieter mais mieux vaut ne pas tenter Loki. L'hydromel coulera à flots ce soir et il compte bien en profiter. Son pas se fait plus pressant afin d'arriver au plus vite au village et pouvoir ne rien raté du banquet en l'Honneur des Orkissens.

 

Arrivé au village après une bonne heure de descente, la torche du guetteur ne brille déjà presque plus. A l'abri du vent derrière les hautes palissades du village de son Clan, Yorg rejoins le hall, où tout le monde s'est réuni.

 

 

Les Loups géants du nord hurlent au loin.....

 

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18 août 2010 3 18 /08 /août /2010 06:08

Pourquoi ? ben pourquoi quoi ?point-d-inte.jpg

 

 

 

 

 

 

 

Le pourquoi est un mot essentiel, la question du pourquoi est la base de la recherche du savoir.

 

En effet, pourquoi telle chose arrive ou telle chose n'arrive pas ? Mais encore, pourquoi ceci fonctionne ? pourquoi ceci ne fonctionne pas .... le pourquoi va avec le comment souvent, mais le comment viens après. Pourquoi cela fonctionne ? ah, pour ceci .. mais comment ? le comment pourrait être la seconde base de la recherche de connaissance.

 

Nos ancêtres se sont sans aucuns doutes posé la question du pourquoi des eclairs ? la réponse aura été, pour faire peur ou créer le feu ! et le comment, n'ayant pas d'explications rationnelles et scientifiques a été les Dieux, ce qui répondait à tout.

 

Aujourd'hui encore, certains d'entre nous sont tentés par mettre sous la coupe de ou des dieux certains évènements de leur vie.

 

Pourquoi alors que je suis pressé la roue de ma voiture a crevée ? Pourquoi alors que j'ai tout pour être heureux dans ma vie, celle ci s'acharne sur moi ? Il n'y a pas vraiment de réponses à ces pourquoi, hormis les : c'est le mauvais hasard, la divine providence qui te met à l'épreuve, ou tout simplement la faute a pas d'chances....

 

Mais quand le sort s'acharne....quelle est la réponse ? ou quelle est la solution ? Pourquoi le sort s'acharne t il sur nous parfois ?

 

Nous tentons de vivre dans la vertu ne causant de tords à personne, nous faisons attention et respectons les autres et parfois des choses nous arrivent et nous semblent injustes et elles le sont.... pourquoi ?

 

La religion nous indique que c'est pour nous mettre à l'épreuve, pour nous tester, dans Charlie de stefen king, le père dit à sa fille, ne dit jamais jamais car dieu aime à pousser les hommes a trahir leur parole... peut être est-ce ca.. mais j'en doute.

 

C'est juste pas de chances, même si c'est répétitif.... et c'est fatiguant.... pourquoi moi ? On ne le saura peut être jamais ...

 

Alors je peux juste vous souhaiter à tous comme à moi Bonne chance ! Car nous en avons tous besoin !

 

Bonne chance !

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16 août 2010 1 16 /08 /août /2010 09:19

 

Je me souviens encore de cette fois, où j'ai failli être dévoré par une buse, quelle frayeur j'ai eu. Depuis ce jour là j'ai traversé 4 fois la Grande Mer, afin de trouver refuge contre le froid de l'hiver dans des contrées où il fait encore chaud à cette époque de l'année.

 

J'ai été malade sur le trajet et j'ai bien cru que je n'arriverai jamais a atteindre l'autre coté de la Grande Mer... j'avais de difficultés à respirer et des maux de ventre absolument terribles. Mais j'ai tout de même réussi, pour mes enfants, afin de leur apprendre moi même le trajet de la Grande Migration au delà de la Grande Mer. La colonie aurait pu le faire, mais je tiens à ce que tout les ans ce soit moi qui le leur apprenne.

 

Les proies de l'autre coté de la Mer sont aussi bonnes que les petites proies des petits bois de chez nous. J'ai entendu un grand Singe dire que ses pesticides marchaient de moins en moins bien et qu'il devait en mettre plus, pour tuer les insectes qui détruisent une partie de ses cultures... J'ai 5 ans et je sais que les grands près où je chasse ont moins d'insectes mais beaucoup moins digestes qu'avant, ce doit être les cultures des grands singes, arrosées de ce qu'ils appellent des pesticides.

Pourquoi ne nous demandent-ils pas de faire le travail de leurs produits ??? Au moins, mes descendants auraient de quoi manger jusqu'à la fin de leurs temps et plus encore, sans risquer de mourir au dessus de la Mer ….

 

Les Grand Singes sont cruels et nous ont oubliés.....

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15 août 2010 7 15 /08 /août /2010 13:01


 

J'apprécie le vent sous mes ailes, je domine une immense plaine, où des créatures font pousser des plantes, ce qui est bien c'est que selon les plantes qui poussent, il y a plus de proies.

 

Mais, comme j'ai mon comptant de nourriture pour aujourd'hui, je décide de m'aventurer dans le petit bois plus vers là où le soleil se couche, dedans, il y a de gros animaux à pattes et à poils, étranges ces poils d'ailleurs, cela doit ne pas être pratique et ne doit pas tenir bien chaud l'hiver, mes plumes me couvrant davantage que les poils de ces animaux là.

 

Je m'amuse à esquiver les arbres, tout en attrapant quelques proies, elles ont meilleur goût par ici. Alors j'en profite, j'en ramènerait à ma future compagne pour nourrir nos petits.

 

 

buse.jpg

 

Zut, une buse !!! Je me faufile aussi vite que je peux. Entre les arbres, tentant de semer mon agresseur !! il est rapide le bougre, plus que moi !! Je tente d'user de mon agilité pour l'emmener vers les branchages pour essayer, vu qu'il est plus gros, de le semer où de lui faire perdre l'équilibre suffisamment longtemps pour que je m'échappe !!!

Cela fait une bonne vingtaine d'arbres que je tente d'échapper à la poursuite infernale que me mène ce prédateur de malheur !! Je tente le tout pour le tout, je fais volte face, il sera normalement moins rapide et je pourrais m'enfuir......

 


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15 août 2010 7 15 /08 /août /2010 08:27

 

Je suis un chasseur, taillé pour la vitesse et la précision de mon vol. D'après mes parents, je suis le plus rapide et agile de la colonie.

 

 

Je quitte ma maison que j'ai perché en hauteur, à l'abri de certains courant d'air. J'ai mis presque une lune complète pour que ma maison soit finie entièrement, et ait le confort nécessaire, pour élever mes futurs enfants.

 

Maintenant que je l'ai finie, je vais pouvoir commencer à me chercher une compagne. Je vais la séduire avec les proies que je vais être capable de ramener, et qui lui montreront que je serais capable de nourrir aussi bien qu'elle nos enfants.

 

Je lisse mon plumage bleu nuit avec de jolis reflets d'un bleu plus clair, mais profond tout de même. Je fais ma toilette, et commence à me diriger vers la sortie de ma magnifique maison.

La première étape va pouvoir commencer, je lance un bonjour à mes voisins et prend mon envol.

 

Mes ailes en demi faux me portent avec aisance et rapidité, ma queue, me sert à me diriger et augmente ma manœuvrabilité en vol. Je survole la petite vallée remplies de d'anfractuosités permettant aux autres membres de la colonie de construire leurs maisons dans de bonnes conditions.

L'an passé c'était moins facile de faire sa maison, cette petite vallée équilibrée n'existait pas. Elle est de couleur rose de chaque cotés et noir avec des bandes blanche en bas entre les deux zones de construction de maisons.

hirondelle.jpg

 

 

D'ailleurs un mini pré dans le creux de la vallée, me permet de prendre mon apéritif, je fond sur ma proie et la gobe sans que celle ci ne ce soit rendu compte de rien.... je suis le chasseur parfait ...

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14 août 2010 6 14 /08 /août /2010 08:40

 

Je survole cet immense champ d'herbes et de fleurs en tout genres, ma mère m'avait appris certaines de ces plantes mais à ce jour je ne m'en souviens plus guère. J'ai vieilli, et je ne suis donc plus aussi alerte qu'auparavant.

 

Je cherche à manger, et je repère de là où je suis, un magnifique arbre qui a de très belles feuilles, cela va être pour moi un vrai festin.

 

Malheureusement une partie des feuilles à déjà été entamée par des fourmis et autres pucerons, je me pose sur l'arbre et commence à me diriger vers les feuilles.

 

Je vérifie que la feuille que je compte manger est en bon état, et je commence à la mâchouiller, ma salive entamant une pré-digestion pour me faciliter ensuite ma déglutition. Une ou deux fourmis, ont décidé de m'empêcher de continuer mon festin. Je secrète un peu de gel protecteur afin de les dissuader de continuer mais rien n'y fait, et puis j'ai tellement faim, que je continue à manger ma feuille, ces petits prédateurs, ne faisant que m'ennuyer légèrement...

 

J'ai mal, une sorte de liquide à perforé ma coque protectrice, je déploie mes ailes en soulevant ma coque, comprenant le danger, ces petits prédateurs ont amené leurs collègues qui me crachent dessus, et leur salive, perfore mes ailes et ma carapace, dont la magnifique couleur jaune faisait ma fierté.

 

J'ai mal, une des fourmis est entrée par l'un de mes orifices naturel et commence à me déchiqueter de l'intérieur, je suis paralysée et je sens mes agresseurs fourrager à l'intérieur de moi, je suis dévorée vivante par ces monstres ….

 

J'ai une dernière pensée pour ma caverne dans laquelle j'ai passé le dernier hiver à l'abri des intempéries et des monstres en tout genres ….

 

Dure fin pour une coccinelle phytophage ou Subcoccinella vigintiquatuorpunctata, je viens de mourir dévorée par des fourmis au milieu de mon repas.

 

 

Après deux ans d'une vie bien remplie, alors qu'il me restait encore au moins un an à vivre, j'avais réussi à survivre aux poisons des hommes et ce fut très difficile.

 

coccinnelle-jaune.jpg

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11 août 2010 3 11 /08 /août /2010 16:39

Brève -5

 

 

Les sondes exploraient le système stellaire à la recherche des vaisseaux agresseurs, une riposte avait été prévue par le Kopf et était en train d'être préparée par les officiers.

 

Jared arpentait sa passerelle en attendant les résultats des sondes. Il avait ordonné plus tôt, le désarrimage des chasseurs. Chasseurs qui depuis, en mode zéro thermie, patrouillaient autour du splendide vaisseau de combat de Jared, lui permettant des réparations plus longues et plus sûres.

 

Les mages tentaient, depuis deux ou trois heures de contacter par communion les autres mages des vaisseaux les plus proches, ceux des Kopfs Leto et Paul, Deux phœnix tout comme Jared. Avec ces deux Kopf, ils formaient le triptyque de combat Rak'Rizov, car composé de 3 Ak' , l'Ak'Hakavir, l'Ak'Zuphir du Kopf Leto et l'Ak'Suplov du Kopf Paul.

 

Les patrouilles afin de couvrir plus de distance, sont composées de 3 navires de combats et de leurs chasseurs de combats. Ces trois navires, explorent plusieurs systèmes à la fois mais en étant toujours à la portée de contacts radio, ou de contact magique entre eux.

 

Or là, l'Ak'Hakavir ayant perdu ses moyens de communications il ne lui restait plus que la magie pour contacter le reste du Triptyque de combat. Mais cela faisait quelques temps sans nouvelles déjà. Il avait du leur arriver quelque chose...

 

Jared réalisa alors, que lui et son équipage était seuls pour résoudre cette crise et s'en sortir....

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9 août 2010 1 09 /08 /août /2010 06:16

Résurrection

Chapitre 2


J'ai mal au coeur,
Voyager sur le dos des tortues de mer géantes est désagréable, je n'avais pas déjà le pied marin mais là.
Je me dois cependant de n'en rien montrer, je suis un elfe après tout, ce genre de choses ne doit pas m'atteindre.
Les kalua'ks me regardent de loin, avec un sourire amusé que je ne saisi pas. Bien que je fasse comme si ils n'étaient pas là, ce sourire m'intrigue, je vérifie discrétement tout mon équipement et mon apparence.

Finalement, c'est sans doute leur ignorance qui les amuse ....

°°°

Je récupère les renes que me tend un homme phoque et j'emmène mon destrier à ma suite.
Port Moa'ki est un village d'une belle taille, et visiblement un grand centre de transit et commerces en tout genre, pour ce peuple inférieur que sont les Kalu'aks.
La grande taille du marché, sur le bord des quais confirme ce point de vue, ce marché aussi vaste qu'un quart du Bazar de Lune d'Argent, m'impressione de par la quantité de produits différents, certains produits me sont même inconnus tandis que j'en reconnais d'autres.

J'en profite pour refaire le plein de provisions, que je purifie en pliant la lumière afin d'éviter tout empoisonnement.

°°°

Cela va faire environ une semaine que j'ai quitté le port des phoques, un de ces phoques m'avait dit d'attendre un peu avant de partir et je lui ai répondu qu'il ne devait pas savoir de quoi il parlait et que je ne risquais rien.

Quel imbécile que ce phoque de n'avoir pas insisté. Cela fait 2 jours que la tempète s'est levée, que je lutte contre le froid a pieds pour dégager le neige et que mon destrier ne se blesse pas sur des congères trompeuses.

Ne dormant jamais, je ne souffre pas la nuit du froid quand je devrais, mais pas besoin de dormir pour souffrir de ce froid, les plaques de mon armures ont déjà gelées depuis longtemps et la félure de l'epaulette droite semble s'être agrandie, si ce n'était que ca.... le froid entrave la flexibilité de mon armure et celle ci resiste a certains de mes mouvements. Même l'huile à gelée. Vu l'ampleur de cette tempète je doute avoir à me défendre, ce n'est donc pas un soucis
.

°°°

J'essaye d'ouvrir les yeux mais ils me font mal et je ne peux pas les ouvrir, quand avais-je perdu connaissance ?....
Etrange, il fait presque chaud et je ne sens pas le froid de mon armure... mon armure !!! Je ne me souviens pas l'avoir enlevée, j'ai si mal, je dois avoir une ou deux cotes cassées, ma jambes droite me fait mal et ma tête aussi. En analysant la situation j'ai une entaille à la tête qui bien que peu profonde a du abondament saigner car je sens du sang recouvrir mon oeil gauche.
Le droit est trop douloureux pour tenter de l'ouvrir.

°°°

Une ombre dans la tempête, cela fait une heure ou deux jours que ces ombres sont apparues, je reste sur mes gardes, ma hache lourde à la main, et je continue à avancer, luttant contre le froid et les éléments, trébuchant sur des obstacles invisibles sous la neige.
Mon destrier est mort de froid la nuit dernière, j'ai ramassé autant de vivres que je pouvais porter sans que cela me gène et j'ai repris la route laissant le cadavre de la bête aux glaces.

L'ombre sur ma gauche s'est immobilisée et semble me fixer, malgré le froid, la neige et le vent je peux voir les deux petits yeux rouges qui me fixe.

L'enfer.

Ca a bougé sur ma droite, j'abats ma hache avec un mouvement rapide et le tranchant de celle-ci rencontre le dos d'une créature humanoide a fourrure avec un gueule de renard et des crocs protégée par une armure de cuir légère, un pas sur la gauche et ma hache continue en tranchant la tête de la créature suivante, d'un léger quart de tour tout en me baissant j'évite une lame qui frôle mon oreille et je juge l'importun d'un geste vif, la force du sort l'envoi voler sur plusieurs mètres, je saute en arrière d'un bon mètre pour éviter une nouvelle lame mortelle.
Ma hache décrit un magnifique arc de cercle, et, tout en jugeant coupe en deux le porteur de cette arme. Une douleur fulgurante me fait comprendre mon erreur, une créature vient d'enfoncer sa lame dans la jointures des plaques qui protége ma cuisse. je lance un jugement qui n'atteind pas sa cible, mais ma hache si, je tente de me relever et je me retrouve face a une dizaine de monstres tout crocs et poils bardés de lames tranchantes, je m'apprete à juger quand au moment de lancer le sort rien ne se passe !

Jj'ai toujours manié la lumière avec facilité sans même y penser, je tente de plier à nouveau la lumière mais rien ne se passe !

Devant l'immobilité résultant de ma stupéfaction, les créatures se jettent sur moi, j'en tue deux ou trois, me prend un coup à la tête et commence à saigner , et je tue encore une ou deux créatures puis dans un déluge de fourrures, de morsures et de sang tout devient noir...une dernière pensée me viens, je ne reverrai plus la jolie prêtresse de mes débuts et je n'ai plus de pouvoirs ....

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7 août 2010 6 07 /08 /août /2010 17:39

 

L'amitié

 

Je suis quelqu'un d'exigeant en ce qui concerne l'amitié. En effet, m'estimant être un ami sur qui on peut compter, je fais prévaloir que quand je donne une parole, je donne mon engagement à faire le maximum pour la respecter.

Et j'attends de mes amis le même type de « sérieux » même si le mot est mal employé à ce niveau.

 

J'ai subi par le passé de nombreux désavoeux de la part de soi-disants « amis » , ils ont abusés de ma confiance et en ont profité allégrement.

 

J'ai depuis ce temps là, et cela remonte à quelques années, dû changer et cela va faire une dizaine d'années que je n'accorde ma confiance à quasiment personne.

 

A ce jour, mis à part à certains membres de ma familles, je ne fais confiance qu'en un nombre très restreins de personnes.

 

J'en ai eu marre d'avoir confiance en des gens qui ne méritaient pas mon amitié. Je suis très loyal, mais ceux qui ont perdus ma confiance ne l'ont pas été envers moi.

 

Cela vaut pour ce que ca vaut, mes amis savent ce que je pense d'eux, j'ai une franchise naturelle qui a tendance à déranger, quand ca ne va pas je donne un coup de pied dans la fourmilière, et je règle le soucis à la racine.

 

A bon entendeur ! :)

 

Be happy

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